Ces toponymes sont-
Environ le tiers des noms renvoie à un individu. Il y a, bien entendu, les héros
de la Nouvelle-
Vous avez regroupé ces toponymes dans diverses catégories (Nouvelle-
Une bonne trentaine de noms sont des lieux géographiques. Il y a des lieux québécois comme Chicoutimi, Gaspé, Lachine, Laurentide et Québec. Il y a des lieux de bataille durant la Première ou la Seconde Guerre mondiale : Courcelette, Dieppe, Vimy et Ypres. Il y a aussi plusieurs villes ou régions de France : Bordeaux, Cannes, Grenoble, Lorraine, Lourdes, Navarre, Paris, Touraine. S’ajoutent aussi quelques villes de la Belgique et de la Suisse : Louvain et Lucerne. J’ai aussi inclus le toponyme Agincourt qui est une déformation du mot Azincourt.
Est-
Oui, je ne m’attendais pas à trouver une rue s’appelant Hirondelle, Castor ou Cheval.
J’ai aussi trouvé assez d’exemples pour créer une catégorie savoureuse, à savoir
les Vins, bière, fromages et gâteau. On y trouve Beaufort (fromage), Bordeaux, Cabernet,
Cassis, Claret, Moselle, Rochefort (bière et fromage), Saint-
Vous êtes-
Oui, je n’ai pas pu savoir pourquoi un Square s’appelle Sylvestre. Il en va de même pour des rues comme Dumont, Leduc, Lessard, Séguin ou Trudelle. Quand au croissant Belanger, je croyais qu’il commémorait le célèbre boxeur torontois Albert Frenchy Bélanger, mais tel n’est pas le cas. Il rappelle plutôt le souvenir du sergent torontois Frank James Belanger, mort au front durant la Seconde Guerre mondiale.
Avez-
J’en ai dressé une liste seulement. Ils sont très nombreux (environ 125), dont voici quelques exemples : Alliance, Floral, Jaguar, Marathon, Oasis, Royal, Solstice. Il y a aussi 70 toponymes qui sont des prénoms : Annette, Ernest, Louise, Victor, etc.
Paul-
Le Métropolitain (Brampton) et Le Régional (Hamilton), semaine du 6 au 12 février 2013
Toronto et sa toponymie française
Notre collaborateur Paul-
D’où vous est venue l’idée d’écrire ce genre de guide ?
Lorsque j’ai fait la recherche pour Toronto s’écrit, je me suis rendu compte que
le nom francophone de plusieurs rues torontoises demeurait un secret bien gardé.
Plusieurs, par exemple, pensent que St. George est un toponyme anglais, alors qu’il
rappelle la présence de Laurent Quetton de Saint-